Biographie
« Une nouvelle, c’est la cristallisation d’un instant arbitrairement choisi où un
personnage est en
conflit avec un autre personnage, avec son milieu ou
avec lui-même »,
William Faulkner
Sarah Mostrel écrit, vit, chante.
S’affaire, programme, explore le monde.
Contemple la vie, la décrit, la dénonce.
Entre dans le fin fond de la psychologie humaine…
Sarah Mostrel est une passionnée. De musique, tout d’abord, avec le piano, qu’elle joue dès l’âge de 7 ans et qu’elle pratiquera pendant plus de 10 ans. Chopin, Beethoven, Schubert, mais aussi - dans un tout autre style - Carole King, James Taylor, Leonard Cohen … seront ses compagnons de jeunesse.
Elle fait ensuite des études d’ingénieur — métier qu’elle exercera pendant 10 ans — avant de bifurquer du milieu scientifique vers la littérature en 2000, après la parution de son premier recueil de poésie, La Rougeur des Pensées (éd. La Bartavelle). S’en suivront d’autres ouvrages poétiques (L’Absolu Illusoire, éd. La Porte des Poètes), La Caresse de l’âme (éd. La Bartavelle), Le Parfum de la Mandragore (éd. Atlantica-Séguier), dans lesquels elle évoque des thèmes chers à son cœur : l’amour, la solitude, l’injustice, la passion…
Sa poésie est sensuelle, Sarah aime l’art et prône l’alliance de ses différentes formes. Elle collabore alors avec des artistes peintres. Deux d’entre eux illustrent les couvertures de ses recueils puis elle commet un livre d’artiste avec un troisième : A cœur défendant, (éd. Transignum), ouvrage bilingue (français, anglais), composé de 10 poèmes illustrés de gravures.
Passionnée par l’amour (son thème de prédilection, sans aucun doute), elle mène en 2009 une enquête sur les relations amoureuses, interviewe une cinquantaine de couples avant de publier Osez dire je t’aime (éd. Grancher), un essai analysant l’évolution du sentiment amoureux dans la société d’aujourd’hui et incitant les êtres à ne pas épargner ces mots précieux. Entretemps, paraît un recueil de nouvelles et d’autres textes en collectifs et en revues. Elle se plaît à y décrire des scènes de vie, à rentrer dans la profondeur des êtres, étudiant les comportements, les espoirs, les désillusions…
En 2010, un musicien met en musique ses poèmes et un album-Cd de quinze titres est enregistré en studio, Désirs Pastel, sur lequel elle chante sur ses textes, accompagnée au piano. Suit Poser le monde, un EP 6 titres. Certaines chansons seront mises en images (clips). Elle donne ensuite un spectacle musical dans un théâtre francilien, entourée de musiciens (piano, violon, saxophone) et de danseurs. De Paris à Munich, elle n’arrêtera plus la scène.
En 2012, paraît Tel un sceau sur ton cœur (éd. Auteurs du Monde) et en 2013, le premier volet d’une trilogie : Révolte d’une femme libre (éd. L’Echappée Belle), des nouvelles de jeunesse. En 2014, paraît le deuxième tome, La dérive bleutée (éd. L’Echappée Belle), et le recueil Chemin de soi(e) (éd. Auteurs du Monde). Un nouveau livre d’artiste, À mesure que je t’aime (éd. Transignum) voit le jour en 2015, puis en 2016, sont publiés Célébration (éd. Unicité), livre de spiritualité illustré de ses peintures, Le Grand Malentendu (éd. Z4), illustré de ses photos et son premier roman Un amour sous emprise (éd. Trédaniel). Un an plus tard est édité l’essai Pour un humanisme éclairé (éd. Au pays rêvé). S’ensuivent un 3ème album de musique Des fleurs dans le regard (12 titres), un livre d’artiste D’aussi loin qu’il m’en souvienne, bilingue (français, hébreu), (éd. Transignum, 2018), et en 2020, Rien à voir (éd. Unicité), illustré de ses peintures, et Le désespoir de Marguerite Duras (éd. Z4), illustré de ses dessins. En 2021, paraît D’ombre et de lumière, 3ème volet de la trilogie, aux éditions L’Echappée belle.
Nouvelliste, essayiste, romancière, poète, auteur-compositeur-interprète et artiste peintre, l’écrivain est journaliste reporter (métier qu’elle exerce actuellement, en presse écrite), et fait des chroniques pour la radio. Elle figure dans des anthologies et a été primée lors de deux concours internationaux de poésie. Médaillée Arts-Sciences-Lettres (2015), elle a reçu en 2021 le prix international de la poésie audiovisuelle de l’Académie Claudine de Tencin SIÉFÉGP.
Mère de deux enfants, elle réside en région parisienne.
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